La sortie du film Aline, une fiction inspirée de la vie de Céline Dion, ne fait pas l’unanimité auprès du public, encore moins auprès de la famille Dion…

Lors de leur passage à La semaine des 4 Julie, Claudette et Michel Dion, la soeur et le frère de Céline Dion, ont lourdement critiqué le film. CLIQUEZ ICI pour toutes les critiques. L’une d’entre elles est que le film est bourré d’erreurs factuelles et que ces informations sont loin d’être secrètes. Par exemple, que ce n’est pas Michel qui a écrit la chanson Ce n’était qu’un rêve, mais bien leur frère Jacques. Michel n’est pas non plus le frère aîné, c’est plutôt leur frère Clément…

Suite à aux propos de Claudette et Michel, Valérie Lemercier a tenu à mentionner que le film est une fiction. CLIQUEZ ICI pour l’intégralité des commentaires de Valérie Lemercier. Le mot fiction est bien important et la journaliste Sophie Durocher qui prête main-forte à Valérie contre les attaques qu’elle reçoit. Sans mâcher ses mots, cette dernière écrit dans sa chronique pour le journal de Montréal ceci :

« « Fiction. Nom féminin. Fait imaginé (opposé à réalité) ; construction imaginaire ». Je pense, en tout respect, que Claudette et Michel Dion auraient dû relire leur dictionnaire avant d’aller voir Aline de Valérie Lemercier »

Elle donne l’exemple de la scène où Aline sort en robe de mariée de la maison non pas par la porte, mais par la fenêtre. Sophie Durocher explique qu’il ne faut pas prendre la scène de façon littérale :

« Mais ce qui leur échappe, c’est que cette scène est une métaphore. Aline est rendue tellement « big » qu’elle « ne passe plus dans’ porte » comme on dit au Québec. »

Sophie Durocher dénonce donc le manque d’ouverture d’esprit de la part de la famille Dion…

LISEZ ICI l’intégralité de la chronique de Sophie Durocher.

En lien avec l’article, voyez ci-dessous des photos de la magnifique maison où Céline Dion et sa famille ont logé pendant la pandémie :

Découvrez la maison ferme de 2 400 000$ où restait Céline Dion lors de son dernier séjour au Québec

Sources : Le journal de Montréal, la page de Sylvain Marcel et Sophie Durocher