Dans les dernières heures, l’animatrice Anaïs Favron a fait une révélation qui a suscité de nombreuses réactions.
Lorsqu’elle était au micro de Rythme, Anaïs a partagé qu’elle souffre d’une maladie auto-immune ayant des conséquences significatives sur son quotidien.
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En effet, Anaïs a avoué avoir ignoré des symptômes pendant des mois.
Ces symptômes incluaient des douleurs articulaires, de la fatigue, des pertes de mémoire et des pertes de cheveux.
Elle a également révélé avoir pensé qu’il s’agissait simplement d’un coup de fatigue ou de symptômes liés à la préménopause. Voici ce qu’elle a dit :
«Ça a commencé par des douleurs aux articulations. Après ça, il y a de la fatigue. Après ça, des petits trous de mémoire. Après ça, je perdais un peu mes cheveux. Après ça, j’avais des douleurs musculaires. Après ça, j’avais des sautes d’humeur, je me suis mise à pleurer deux, trois fois par jour. […] Jusqu’à être très, très fatiguée. Jusqu’à ne plus être capable de marcher jusqu’au métro parce que mes muscles devenaient en roche. Jusqu’à dormir des nuits de 10 heures en faisant des siestes de trois, quatre heures.»
Malheureusement, la réalité était plus grave et le verdict médical a confirmé que l’animatrice souffre de la maladie d’Hashimoto, qui attaque la glande thyroïde.
Malgré son moral et une baisse importante de son énergie, Anaïs a continué à travailler sans rien laisser paraître. Elle a ajouté :
«Tous les jours, je suis venue faire la radio. Mon moral était là. Je fonctionnais sur l’énergie du désespoir.»
Cela n’a vraiment pas dû être facile pour elle !
Anaïs explique qu’elle a même passé un week-end sous surveillance médicale, un scénario qu’elle n’avait jamais envisagé auparavant.
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En voulant aider d’autres personnes susceptibles d’avoir la maladie, Anaïs a conclu en disant :
«J’ai probablement trop attendu, ce qui fait qu’au lieu de pouvoir réparer ma glande thyroïde, j’en ai pu. Et je dois prendre des médicaments pour tout le restant de ma vie, si je veux avoir de l’énergie.»
En rassurant les auditeurs qu’elle va heureusement mieux depuis le début de son traitement, le message d’Anaïs est clair : il faut écouter son corps et consulter rapidement.
On lui souhaite bonne chance dans cette épreuve et surtout une bonne santé.
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Photos : Pages de Anaïs Favron et de Rythme