Roy Dupuis a connu un immense succès à l’époque des Filles de Caleb. En 1990, c’est plusieurs millions de Québécois et de Québécoises qui se rassemblaient devant les petits écrans pour visionner Émilie Bordeleau et Ovila Pronovos. Si Roy Dupuis a hésité à accepter ce rôle pour aller faire du théâtre en France, il a finalement accepté de donner la réplique à Marina Orsini. D’ailleurs, la comédienne a été choisie pour animer un documentaire qui a permis aux acteurs de se replonger à l’époque du feuilleton. C’est dans ce contexte que Roy Dupuis s’est ouvert sur une part vulnérable de sa vie.
En effet, il s’est ouvert sur les répercussions de son succès. Il se sentait scruter à tout moment…
L’acteur avoue qu’il avait déjà une relation particulière avec l’alcool. Cependant, cela a accentué sa consommation.
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Voici ce qu’il a dit à ce sujet :
«Le seul impact négatif, c’est que, dès que je sortais de chez nous, j’avais vraiment l’impression que j’étais sur un stage. Tu te fais observer, tu te sens observer, scruter. C’est sûr que pour moi… bon… déjà peut-être déjà une tendance à l’alcool, ça fait que ça l’a comme amplifié, l’envie de me geler si l’on veut… jusqu’à tant que ça soit problématique. C’est pour cela qu’asteure je ne bois plus.»
Si ce rôle a d’abord été bénéfique sur sa carrière, Roy Dupuis a donc eu des difficultés au plan personnel à cette époque.
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Roy Dupuis est maintenant sobre depuis à peu près 30 ans.
Le documentaire animé par Marina Orsini se nomme Les filles de Caleb: L’histoire d’une passion. Le projet sera mis en ligne sur TOU.TV Extra le 2 décembre prochain.
Photos: page de Tout le monde en parle
