C’est hier soir que l’animateur Guy A. Lepage recevait la belle Marie-Mai sur le plateau de Tout le monde en parle.

Bien entendu, la chanteuse y était pour parler de son nouvel album, mais aussi pour discuter des nombreux changements qui ont eu lieu dans sa vie depuis quelques années; sa fille, sa rupture très médiatisée, ainsi que sa séparation avec Julie Snyder et sa compagnie Productions J.

Cette rupture professionnelle n’avait rien de personnelle, même que Marie-Mai et Julie étaient de très bonnes amies. La chanteuse voulait seulement partir à neuf, ce qui lui semblait impossible chez TVA.

Elle expliquait entre autre que Julie Snyder n’avait vraiment pas bien pris la nouvelle et que cette séparation avait engendrée un gros « bordel ».

Bien que le tout ce soit bien réglé et que sa relation avec Julie est bonne (Julie ne travaillant plus pour TVA), Marie-Mai confiait qu’elle est ignorée par tous les médias de l’empire médiatique et qu’elle est presque barrée de l’édifice de TVA… On ne la reverra donc plus jamais comme coach à La Voix.

Selon Guy A. Lepage, la situation est outrageuse et il ne s’est pas gêné pour partager son point de vue sur les réseaux sociaux: « Boycotter des vedettes est une stratégie qui est tout sauf rentable pour un diffuseur car le public va aller les voir ailleurs. Tout simplement. »

En partageant cette flèche directement envoyé à TVA, des centaines de Québécois ont commenté la publication et on peut voir qu’ils sont du même avis:

« Tellement contente qu’il se tire dans le pied. J’espère fortement que d’autres artistes sortent de ce réseau et soit plus indépendant. Moi les cages doré pas trop dans mes cordes. »

« Je seconde X 1,000 »

« Ils sont snob tva. C’est eux les pire. Ils feront moins d’argent et je doute que marie mai ça lui fasse du mal. Ses fans la suivent où elle va pareil (comme moi).« 

Et vous, que pensez-vous de toute cette histoire?

Anaïs Favron se fait insulter sur les réseaux sociaux et répond sans aucun filtre

Photo: Guy A. Lepage

Top 9 des photos de vedettes du Québec alors qu’elles faisaient leur entrée à l’école