Gabrielle Côté est une comédienne que les Québécois peuvent entre autres voir dans la série STAT.

La quotidienne de Radio-Canada – qui attire plus d’un million de téléspectateurs lors de chacun des épisodes – permet à Gabrielle de camper le rôle de Laurence Caron, l’assistante de Mylène Lapierre.

Croisée à la première du one-woman show de Katherine Levac au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, Gabrielle Côté a fait savoir qu’elle est en couple avec son chum depuis plusieurs années.

Celle-ci est en amour avec Philippe Ouellet, un urgentologue dans la vraie vie.

Elle côtoie donc un homme qui travaille dans le milieu hospitalier et celle-ci interprète un personnage dans une série qui tourne autour du monde hospitalier.

Voici ce qu’elle a dit au magazine La Semaine :

« Nous sommes ensemble depuis 12 ans. »

Gabrielle et Philippe sont en couple depuis une douzaine d’années et ils filent le parfait bonheur ensemble!

On leur souhaite le meilleur pour la suite, eux qui forment un magnifique couple!

Sur le plan professionnel, Gabrielle est en pleine écriture de Furies, son premier long métrage en tant que scénariste.

Voici ce qu’elle a révélé à propos de son nouveau projet :

« Il s’agit d’une comédie sportive féminine. Je prévois entrer en production dès l’automne prochain. »

Gabrielle Côté a l’air vraiment heureuse en compagnie de son urgentologue Philippe Ouellet.

Gabrielle Côté et son chum Philippe Ouellet étaient également présents sur le tapis rouge de la première du film Simple comme Sylvain mettant en vedette Magalie Lépine-Blondeau et Pierre-Yves Cardinal.

On espère qu’elle passera de superbes moments à ses côtés et qu’elle aura beaucoup de succès avec son long métrage intitulé Furies!

À voir, après la finale, Zénith partage des photos des meilleurs moments de la gagnante Rafaëlle Roy. Que dire de son look sur la photo #4… Détails dans l’article ci-dessous :

Après la finale, Zénith partage des images des meilleurs moments de la gagnante Rafaëlle Roy

Photos : Page de STAT et page de Gabrielle Côté

Source : La Semaine