Le chanteur Mario Pelchat a annoncé dans les dernières heures qu’il devra annuler tous ses spectacles de cet été.

En effet, celui-ci ne pourra pas performer à son vignoble durant la saison estivale puisqu’il n’a pas reçu l’autorisation de la Commission de la Protection du territoire Agricole du Québec (CPTAQ).

Le chanteur semblait très déçu, on peut vraiment comprendre pourquoi.

(La suite ainsi que tous les détails de l’article sont sous la photo)

En entrevue avec le Journal de Montréal, le chanteur a révélé avoir tenté de faire changer d’avis la CPTAQ.

Voici ce qu’il a expliqué:

«J’AI ESSAYÉ D’OBTENIR LEUR CONSENTEMENT OU LEUR CLÉMENCE, MAIS ILS MENAÇAIENT D’ALLER EN COUR SUPÉRIEURE. À UN MOMENT DONNÉ, C’EST ASSEZ DE STRESS. JE FAIS DE L’HYPERVENTILATION DEPUIS QUE CE CAUCHEMAR-LÀ A COMMENCÉ. J’AI BEAUCOUP D’ANXIÉTÉ. DONC, VENDREDI, J’AI PRIS LA DÉCISION DE TOUT ARRÊTER.[…] CE SONT 35 PERSONNES QUI PERDENT LEUR EMPLOI.»

La CPTAQ aurait informé le chanteur que c’est en raison d’une plainte que son vignoble ne pourra pas faire de spectacle cet été.

Voici ce que Mario a expliqué en entrevue avec le Journal de Montréal:

«J’AIMERAIS SAVOIR QUI L’A FAITE, PARCE QUE PERSONNE NE S’EST PLAINT DU BRUIT CHEZ LES VOISINS, ASSURE MARIO PELCHAT. MON CHEF DE PRODUCTION DEMEURE À 1500 PIEDS DE LA SALLE ET ON N’ENTEND ABSOLUMENT RIEN QUAND LES SPECTACLES ONT LIEU.»

Voici comment le chanteur a annoncé la triste nouvelle sur la page de son vignoble dans les dernières heures:

Mario Pelchat

Voici la publication en question que Mario Pelchat a partagée sur la page de son vignoble:

À voir, Marie-Ève Janvier et Julie Ringuette partagent des photos de la répétition de Waitress et elles rayonnent. Les deux femmes semblent tellement avoir du plaisir durant leurs répétitions… Et que dire de la photo #4… Tous les détails ainsi que toutes les photos sont dans l’article ci-dessous:

Marie-Eve Janvier et Julie Ringuette partagent des photos de la répétition de Waitress et elles rayonnent

Source: La page Facebook du Domaine Pelchat Lemaître-Auger et Le journal de Montréal